Parti suisse du travail

Parti suisse du travail
(de) Partei der Arbeit der Schweiz
(it) Partito del Lavoro svizzero
(rm) Partida svizra da la lavur
Image illustrative de l’article Parti suisse du travail
Logotype officiel.
Présentation
Président Amanda Ioset et Alexander Eniline [1]
Fondation (section vaudoise)
(parti national)
Siège Turmweg 24
3013 Berne
Positionnement Gauche[2] à extrême gauche[3],[4]
Idéologie Communisme[5]
Socialisme[5]
Affiliation européenne Parti de la gauche européenne
Affiliation internationale Séminaire communiste international[6]
Adhérents 2 000 (2009)[7]
Couleurs Rouge
Site web pst-pop.ch
Représentation
Conseillers nationaux[8]
0  /  200
Conseillers aux États[9]
0  /  46
Législatifs cantonaux[10]
12  /  2609
Exécutifs cantonaux[10]
0  /  154
Législatifs communaux
48  /  5403
Exécutifs communaux[11]
7  /  1146
Conseil fédéral
0  /  7

Le Parti suisse du travail (PST-POP) (en allemand Partei der Arbeit der Schweiz (PdA), en italien Partito svizzero del Lavoro (PdL), est un parti suisse d'inspiration marxiste. Son symbole est un bonnet phrygien rouge avec une petite croix fédérale. Il a pour but de rassembler les ouvriers, les salariés et l'ensemble des forces sociales autour d'un projet progressiste et anti-capitaliste. Il a des influences communistes et altermondialistes. Le parti est membre fondateur du Parti de la gauche européenne. Au niveau suisse, le Parti ouvrier et populaire (POP) participe en 2007, avec le parti politique solidaritéS, à la création de la coalition politique À gauche toute !.

Il est appelé « Parti ouvrier et populaire » (POP) dans les cantons de Berne[12], de Neuchâtel, de Vaud, du Tessin, du Valais et du Jura.

En 2021, le PST-POP compte des sections dans le canton de Vaud, Neuchâtel, Genève (Parti du travail), Jura, Valais, Berne, Zurich, Saint-Gall, Tessin, Bâle et Argovie.

  1. Eric Felley, « Valais - Les communistes suisses plus proches des ouvriers », Le Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. Marc Bonhomme et Pia Stalder, « Analyse sémiolinguistique des pages d’accueil des sites politiques suisses sur Internet », Mots, no 80,‎ , p. 11–23 (ISSN 0243-6450, DOI 10.4000/mots.484, lire en ligne, consulté le ).
  3. (en) Clive H. Church, Switzerland and the European Union : A Close, Contradictory and Misunderstood Relationship, Routledge, (ISBN 978-1-134-19436-0, lire en ligne), p. 80.
  4. (en) « Weakened communists still flying the red flag », sur SWI swissinfo.ch, (consulté le ).
  5. a et b (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe », sur Parties-and-elections.eu (consulté le ).
  6. [1] « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  7. « http://www.bk.admin.ch/dokumentation/02070/index.html?lang=de&download=M3wBPgDB_8ull6Du36WenojQ1NTTjaXZnqWfVpzLhmfhnapmmc7Zi6rZnqCkkIV9gXyDbKbXrZ6lhuDZz8mMps2gpKfo »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  8. « Répartition des mandats par parti Élections au Conseil national de 1971 à 2011 », sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  9. « Répartition des mandats par parti 1971 à 2011 », sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  10. a et b Élections en Suisse
  11. Statistiques des villes suisses - Chapitre politique, Union des villes suisses, consulté le 13.04.2017
  12. Liste de candidats à l'élection du Conseil national 2011 - Liste 28: Partei der Arbeit / Parti Ouvrier et Populaire

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